41st International Dental Show (IDS) 2025: Impulses for orthodontics through new digital and biological methods

Digitalisation, the 3D printing of physical models, aligners – artificial intelligence for more prognostic reliability and as a decision-making tool – biological regeneration methods, such as for instance PRF and other blood concentrates – IDS 2025 presents the entire spectrum of orthodontics

Orthodontics is in a positive sense a conservative dental discipline, has at the same time continually integrated the opportunities of digital technologies and is also enriched with elements of artificial intelligence (AI). These developments will be demonstrated in their entirety at the International Dental Show (IDS) in Cologne from 25 to 29 March 2025.

The digitalisation era has brought the orthodontics sector the cone beam tomography (CBCT), the intra oral camera and aligners. The therapy planning possibilities per computer screen and for the virtual comparison of different options and their results are actually what have made certain treatments feasible. Orthodontists find the fast data exchange with the dental laboratory and with orthodontic service providers and especially with the dental industry particularly convenient. In this way, certain steps can if necessary be outsourced, such as the segmentation of intra orally scanned dental arches.

Thanks to Cloud computing these are now enhanced by prognosis tools of new quality. Hence, the orthodontists can fall back on huge data sets and with their aid can evaluate individual practical cases more readily. AI-supported software can for example make classifications (i.e. Class II or Class III malocclusion). However, recognising structures that people cannot detect proves to be even more helpful. This enables a more precise assessment as to whether a child will develop a Class III malocclusion in the course of its development.

Software serves as a particularly welcome aid for dentists in certain decision-making situations, for example in the case of extractions (yes/no), orthognathic surgery (to what extent can jaw and face deformities be corrected by surgery?) and abnormalities in jaw growth (when to intervene?). In future, computer programmes will accelerate the determination of orientation points in the X-ray for the cephalometric analysis and possibly even improve the accuracy of diagnoses.

Furthermore, there are tasks that are easy for a doctor (differentiating between structures like the jaw, teeth, nerve channel, trachea, tongue bone) that conventional computer programmes struggle with. On the other hand, software trained using existing data sets can however automatically carry out a segmentation, for instance a segmentation of cone beam computer tomography images. If necessary both a CBCT and an intra oral scan can be carried out as an intermediate step. However, the actual therapy method (in other words, the orthodontic devices used) remain the same.

Orthodontics is meanwhile gaining new impulses from the field of biology. One facet involves for example the use of blood concentrates. Here one should mention above all different variants of "platelet-rich fibrin" (PRF). PRF could for example be used in orthodontics after extractions or after the explantation of auxiliary implants for the support of certain devices in order to accelerate wound healing, make flap formation or soft tissue transplants superfluous and reduce the pain. IDS also shows which equipment is necessary for this method (centrifuges, mixing slabs, etc.) in Cologne from 25 to 29 March 2025.

The orthodontic teams will find everything they need to exploit the new possibilities at the International Dental Show," said a pleased Mark Stephen Pace, Chairman of the Executive Board of the Association of the German Dental Industry e.V. (VDDI). "These include 2D and 3D X-ray systems, intra oral scanners, 3D printers for the additive manufacturing of models and aligners, orthodontic Cloud computing strategies, ceph analysis software, automated segmentation tools and much more."

IDS takes place in Cologne every two years and is organised by the GFDI Gesellschaft zur Förderung der Dental-Industrie mbH, the commercial enterprise of the Association of the German Dental Industry (VDDI). It is staged by Koelnmesse GmbH, Cologne.

41e édition du Salon international d’odontologie (IDS) 2025 : impulsions données à l'orthodontie par de nouvelles méthodes numériques et biologiques

Numérisation, impression 3D, modèles physiques, aligneurs – L'intelligence artificielle pour un pronostic plus fiable et comme aide à la décision – Procédure de régénération biologique avec utilisation de PRF et d'autres concentrés sanguins – IDS 2025 présente une offre orthodontique exhaustive

L'orthodontie est une discipline dentaire conservatrice, dans le bon sens du terme. Elle a continuellement intégré les possibilités offertes par les technologies numériques et s'enrichit également des apports de l'intelligence artificielle (IA). Le Salon international d’odontologie (IDS), qui se tient à Cologne du 25 au 29 mars 2025, donnera une vue d'ensemble de toutes ces évolutions.

L'ère de la numérisation a apporté à l'orthodontie la tomographie informatisée à faisceau conique (CBCT), la caméra intra-orale et les aligneurs. Seules les possibilités de planifier sur écran les soins envisagés et de procéder à une comparaison virtuelle des différentes options et des résultats qu'elles permettront d'obtenir ont rendu réalisables certains traitements. Les orthodontistes trouvent particulièrement commode l'échange rapide de données avec le laboratoire technico-dentaire et les prestataires de services orthodontiques, notamment avec l'industrie. Cela permet ainsi d'externaliser, si nécessaire, certaines étapes comme la segmentation des arcades dentaires numérisées par scanner intra-oral.

Avec le cloud computing dentaire, le praticien bénéficie d'outils de prévision d'une qualité nouvelle. L'orthodontiste pourra ainsi accéder à de très grandes quantités de données à l'aide desquelles il sera en mesure de mieux évaluer les cas individuels qu'il aura à traiter. Un logiciel assisté par l'IA peut par exemple procéder à des classifications (malocclusion dentaire de classe 2 ou 3). Mais ce qui s'avère encore plus utile, c'est de parvenir à identifier des structures cachées à nos yeux. On arrive ainsi à mieux évaluer si un enfant présentera une malocclusion dentaire de classe 3 au cours de son développement.

Dans certaines situations nécessitant une prise de décision, le logiciel est une aide particulièrement utile pour les dentistes, par exemple pour décider s'il faut ou non pratiquer une extraction, mais aussi en cas de chirurgie orthognathique (dans quelle mesure envisager une chirurgie pour corriger les déformations de la mâchoire et les asymétries du visage ?) et d'anomalie de la croissance de la mâchoire (quand intervenir ?). À l'avenir, des programmes informatiques accéléreront le repérage sur radiographie des points utiles à l'analyse céphalométrique et il se peut même que la précision des diagnostics en soit améliorée.

Par ailleurs, il y a des tâches faciles à exécuter par un médecin (différenciation de structures comme la mâchoire, les dents, le canal radiculaire, la trachée, l'os hyoïde) qui donnent toutefois du fil à retordre aux programmes informatiques. En revanche, un logiciel entraîné sur des ensembles de données existants peut effectuer automatiquement une segmentation, par exemple celle d'images obtenues avec un scanner à faisceau conique. Le cas échéant, l'association d'une image CBCT et d'un scan intra-oral peut être une étape intermédiaire. La méthode thérapeutique proprement dite (c'est-à-dire les appareils orthodontiques utilisés) reste toutefois la même.

Cependant, la biologie donne une nouvelle impulsion à l'orthodontie. L'utilisation de concentrés sanguins en est un exemple parmi d'autres. Dans ce contexte, il faut avant tout mentionner les PRP, à savoir les plasmas riches en plaquettes (« platelet-rich fibrin »), leur concentration étant variable. Ces PRP pourraient être utilisés en orthodontie, par exemple après des extractions ou le retrait d'implants auxiliaires servant au soutien de certains appareils, dans le but d'accélérer la cicatrisation des plaies, d'éviter la formation de lambeaux ou les greffes de tissus mous et d'atténuer la douleur. Le Salon international d’odontologie (IDS), qui se tient à Cologne du 25 au 29 mars 2025, présente les appareils nécessaires à la procédure correspondante (centrifugeuses, tubes de prélèvement, etc.).

« Au Salon international d’odontologie, les équipes orthodontiques trouvent tout ce dont elles ont besoin pour exploiter les nouvelles possibilités », s'est réjoui Mark Stephen Pace, président du conseil d'administration de la Fédération allemande de l'industrie dentaire (Verband der Deutschen Dental-Industrie e.V. - VDDI). « Il s'agit par exemple de systèmes de radiographie 2D et 3D, de scanners intra-oraux, d'imprimantes 3D pour la fabrication additive de modèles et d'aligneurs, du cloud computing et de stratégies correspondantes pour la pratique orthodontique, de logiciels d'analyse céphalométrique, d'outils de segmentation automatisés et de tant d'autres choses encore. »

IDS a lieu tous les deux ans à Cologne. Il est organisé par la GFDI (Gesellschaft zur Förderung der Dental-Industrie mbH), entreprise économique de la Fédération allemande de l'industrie dentaire (Verband der Deutschen Dental-Industrie e.V. - VDDI). Koelnmesse GmbH, Cologne, assure sa tenue.

41° Salone internazionale dell'odontoiatria e dell’odontotecnica (IDS) 2025: nuovi metodi digitali e biologici spingono l'ortodonzia

Digitalizzazione, stampa 3D di modelli fisici, allineatori - Intelligenza artificiale per maggiore sicurezza previsionale e come ausilio decisionale - Metodi di rigenerazione biologica, come PRF e altri concentrati piastrinici - IDS 2025 presenta l'intero spettro ortodontico

L'ortodonzia è una disciplina odontoiatrica conservativa nel senso buono del termine, che ha integrato in modo continuo le opportunità offerte dalle tecnologie digitali, senza disdegnare anche elementi dell'intelligenza artificiale (IA). Dal 25 al 29 marzo 2025 il Salone internazionale dell'odontoiatria e dell’odontotecnica (IDS) di Colonia metterà in mostra tutti gli ultimi sviluppi.

L'avvento della digitalizzazione ha portato in omaggio all'ortodonzia la tomografia computerizzata a fascio conico (CBCT), la telecamera intraorale e gli allineatori. La possibilità di pianificare l'intervento terapeutico a video e procedere a un confronto virtuale delle varie opzioni e dei relativi risultati ha ad esempio reso praticabile più di un trattamento. Gli ortodontisti apprezzano in particolare il rapido scambio di dati con il laboratorio odontotecnico e i fornitori di servizi ortodontici specializzati, in particolare con l'industria dentale. Alcune fasi possono così essere eventualmente esternalizzate, come ad esempio la segmentazione di arcate dentali sottoposte a scansione intraorale.

A tutto ciò grazie al cloud computing si aggiungono strumenti previsionali di qualità inedita. Gli ortodontisti hanno così accesso a enormi set di dati e possono utilizzarli per una migliore valutazione dei singoli casi pratici. I software supportati da IA possono per esempio eseguire le classificazioni (per es. malocclusione di classe II o III). Ancora più utile si rivela tuttavia il riconoscimento di strutture invisibili all'occhio umano. Si può così valutare con maggior precisione se nel corso della crescita un bambino svilupperà una malocclusione di classe III.

Il software può accorrere in aiuto dei dentisti al momento di prendere decisioni delicate, come estrazioni (sì/no), chirurgia ortognatica (in che misura le deformità mandibolari e facciali vanno corrette chirurgicamente?) e anomalie della crescita mandibolare (quando intervenire?). I programmi informatici velocizzeranno la definizione dei punti di riferimento nelle immagini radiografiche per l'analisi cefalometrica e potrebbero anche migliorare l'accuratezza della diagnosi.

Esistono compiti che risultano particolarmente semplici per un medico (distinzione di strutture quali mascella, denti, canale radicolare, trachea, osso ioide) e invece estremamente complessi per i comuni programmi informatici. Al contrario un software addestrato sulla base di set di dati esistenti è in grado di eseguire in automatico una segmentazione di tomografie computerizzate a fascio conico. Come fase intermedia si potrebbe anche operare un'unione di CBCT e scansione intraorale. Il metodo terapeutico vero e proprio (cioè gli apparecchi ortodontici utilizzati) rimane però invariato.

Intanto l'ortodonzia trae nuovi spunti dalla biologia. Uno di questi è ad esempio l'utilizzo dei concentrati piastrinici; a questo riguardo vanno citate in primis le diverse varianti di PRF (platelet-rich fibrin). In ortodonzia il PRF potrebbe venire utilizzato dopo le estrazioni o l'espianto di ausiliari per il sostegno di apparecchi specifici, per accelerare la cicatrizzazione, evitare la formazione di lembi o il trapianto di tessuti molli e per arginare il dolore. L'attrezzatura necessaria per questa procedura (centrifughe, piastre di miscelazione, ecc.) sarà esposta a Colonia a IDS dal 25 al 29 marzo 2025.

"Al Salone internazionale dell'odontoiatria e dell’odontotecnica i team ortodontici troveranno tutto il necessario per sfruttare appieno gli ultimi ritrovati", afferma soddisfatto Mark Stephen Pace, direttore generale dell'Associazione dell'industria dentale tedesca (VDDI). "Ricordiamo ad esempio sistemi radiografici 2D e 3D, scanner intraorali, stampanti 3D per la produzione additiva di modelli e allineatori, strategie di cloud computing per ortodonzia, software di analisi Ceph, tool di segmentazione automatica e molto altro ancora".

IDS si tiene ogni due anni a Colonia ed è organizzata dalla GFDI – Gesellschaft zur Förderung der Dental-Industrie mbH, la società commerciale dell'Associazione dell'industria dentale tedesca (VDDI). La realizzazione pratica è affidata a Koelnmesse GmbH di Colonia.

41ª Exhibición Dental Internacional (IDS) 2025: un impulso para la ortodoncia a través de los nuevos procedimientos digitales y biológicos

Digitalización, impresión 3D de modelos físicos, alineadores – inteligencia artificial para una previsión más fiable y como ayuda en la toma de decisiones – procesos biológicos de regeneración como la PRF y otros concentrados plaquetarios – IDS 2025 presenta toda la gama en ortodoncia

La ortodoncia es una disciplina médica conservadora, en el buen sentido, que a la vez ha ido integrando continuamente las oportunidades brindadas por las tecnologías digitales y que hoy ya se está beneficiando de algunos elementos de la inteligencia artificial (IA). La gama completa de estos avances se mostrará en la Exhibición Dental Internacional (IDS) del 25 al 29 de marzo de 2025 en Colonia.

La era de la digitalización ha traído a la ortodoncia la tomografía computarizada de haz cónico (CBCT), la cámara intraoral y los alineadores invisibles. La posibilidad de planificar el tratamiento en pantalla y de comparar virtualmente distintas opciones y sus resultados ha conseguido que determinados tratamientos sean, antes de todo, viables. Los ortodoncistas encuentran especialmente cómodos el rápido intercambio de datos con el laboratorio y con los proveedores de servicios especializados en ortodoncia, especialmente con la industria dental. De este modo se pueden subcontratar, en caso necesario, alguno de los pasos como la segmentación de arcadas dentales escaneadas intraoralmente.

La computación en nube aporta un valor añadido a las herramientas de pronóstico. Así, los ortodoncistas podrán acceder a una enorme base de datos y apoyarse en ella para evaluar los casos individuales de su consulta. El software asistido por IA puede, entre otras cosas, realizar clasificaciones (por ejemplo, una maloclusión de clase II o de clase III). Pero aún más útil ha demostrado ser el reconocimiento de estructuras que están ocultas al ojo humano. De esta manera se puede evaluar con mayor precisión si un niño desarrollará una maloclusión de clase III a lo largo de su crecimiento.

Las herramientas de software son especialmente bien recibidas por los dentistas a la hora de tomar determinadas decisiones, por ejemplo, sobre extracciones (sí o no), en cirugía ortognática (¿hasta qué punto se deben corregir quirúrgicamente las deformidades maxilares o faciales?) y en anomalías del crecimiento maxilar (¿cuándo intervenir?). En el futuro, los programas de ordenador acelerarán la determinación de puntos de orientación en radiografías para el análisis cefalométrico y, posiblemente, incluso mejorarán la precisión de los diagnósticos.

Por otra parte, hay tareas que para un médico resultan muy sencillas (la diferenciación de estructuras como mandíbula, dientes, canal nervioso, tráquea o hueso hioides) y que plantean grandes dificultades para los programas informáticos convencionales. Sin embargo, un software entrenado en bases de datos existentes puede realizar segmentaciones automáticamente, como la segmentación de tomografías computarizadas de haz cónico. En caso necesario, se pueden combinar un escáner CBCT y un escáner intraoral como paso intermedio. De todos modos, el tratamiento en sí (es decir, los aparatos de ortodoncia empleados) sigue siendo el mismo.

Mientras tanto, la ortodoncia recibe nuevos impulsos de la biología. Un ejemplo de ello es el uso de concentrados plaquetarios, de entre los cuales destacan las distintas variantes de fibrina rica en plaquetas (PRF). La PRF podría utilizarse en ortodoncia después de extracciones o tras la explantación de implantes auxiliares para el apoyo de determinados aparatos con el fin de acelerar la cicatrización, minimizar la necesidad de colgajos o trasplantes de tejidos blandos y reducir el dolor. Todos los dispositivos necesarios para procedimientos como este (centrifugadoras, placas de mezclas, etc.) también formarán parte de la exposición IDS del 25 al 29 de marzo de 2025 en Colonia.

“Los equipos de ortodoncia encontrarán en la Exhibición Dental Internacional lo que necesitan para sacarle todo el partido a las nuevas posibilidades”, apunta con optimismo Mark Stephen Pace, director general de la Asociación de la Industria Dental Alemana (VDDI). “Esto incluye, por ejemplo, los sistemas de radiografía 2D y 3D, el escáner intraoral, la impresora 3D para la fabricación aditiva de modelos y alineadores, las estrategias de computación en la nube para ortodoncia, el software de análisis Ceph, las herramientas de segmentación automatizada y mucho más”.

La Exhibición Dental Internacional, IDS, se celebra cada dos años en Colonia y está organizada por la Sociedad para la promoción de la industria dental (GFDI/Gesellschaft zur Förderung der Dental-Industrie mbH), la empresa comercial de la Asociación de la Industria Dental Alemana (VDDI/Verband der Deutschen Dental-Industrie e.V). La realización de la feria va a cargo de Koelnmesse GmbH, Colonia.